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Chapitre 104
L’appel venait de Roxane. Bruce remit le téléphone dans sa poche.
Il avait déjà décidé de couper tout lien avec Roxane.
Des le début, il y a eu un malentendu entre lui et Roxane. Maintenant, il était encore moins nécessaire de prolonger le malentendu.
Bip, bip, bip!
Le téléphone n’arrêtait pas de vibrer!
“M. Chevalier, tu es si occupe,” dit Johanne en ricanant sans même lever la tête. “Tu ferais mieux de te dépêcher de rentrer pour vaquer à tes propres occupations!”
Bruce a dit: “Tu es tellement pressée de me chasser, hein?”
“Après mon départ, tu pourras séduire d’autres hommes, n’est–ce pas?”
Johanne roula des yeux et dit avec irritation: “Bruce, je n’ai vraiment aucune idée de ce à quoi tu penses.”
“Netions–nous pas d’accord pour ne plus rien avoir à faire l’un avec l’autre après le divorce? Tu es deja fiance. Tu devrais passer du temps avec ta fiancée.
Les deux années de mariage lui avaient cause tant de peine qu’elle ne lui pardonnerait jamais pour le reste de sa vie.
Il n’avait pas été facile pour elle de tourner la page sur la douleur émotionnelle qu’elle avait ressentie durant sa relation avec Bruce. Par conséquent, elle n’y avait pas de retour en arrière pour elle.
Johanne, que j’aie une fiancée ou pas, ça ne m’empêche pas d’etre avec toi, dit Bruce.
“Es tu en train de dire que tu peux sortir avec d’autres femmes, mais que je ne peux pas sortir avec d’autres hommes?” dit Johanne.
Bruce haussa légèrement les sourcils et dit: Tu peux l’interpréter ainsi.”
“Hum, quelle façon unique de penser!” dit Johanne. “Qu’est–ce qui te fait penser que je vais l’accepter?”
“Peu importe que tu sois d’accord ou non!” dit Bruce. “Si tu n’es pas d’accord, j’ai plein de moyens de te faire accepter!”
“Bruce, tu ne trouves pas que c’est bas et ennuyeux de ta part de faire ça?” dit Johanne.
“Je ne pense pas!” dit Bruce.
Quoi qu’il en soit, Bruce ferait tout ce qu’il fallait pour obtenir ce qu’il voulait. Il était determine à atteindre ses objectifs, quitte à recourir à des moyens peu scrupuleux.
C’est peut–être son sentiment de superiorité depuis l’enfance qui avait rendu sa personnalité paranoiaque et gatee Parfois. meme lorsqu’il aimait beaucoup quelque chose, il le niait en son for intérieur, encore et encore.
Johanne secoua la tête sans voix. Elle continua ensuite à regarder son ordinateur.
Bruce se leva et marcha lentement vers elle en disant: “Johanne, il nous reste encore une chance de continuer notre relation”
Pendant que Bruce parlait, il tomba dans un moment de contemplation. Il dit ensuite: “Ça ne me derange même pas que tu airs des enfants avec un autre homme, alors pourquoi fais–tu encore des airs?”
Lorsque Johanne entendi cela, elle faillit rire de colere “Es tu en train de dire que je devrais être profondement reconnaissante de ta tolerance?” dit–elle.
1.4
“Ne devrais–tu pas?” dit Bruce.
“Bruce, n’es tu pas trop narcissique?” dit Johanne. “Penses–tu que toutes les femmes de Greyport t’aiment et t’apprécient?”
“N’est–ce pas le cas?” dit Bruce. Il avait toujours été très sûr de son charme.
C’était l’homme le plus riche de Greyport, et il était si beau et si jeune! Les femmes ne devraient–elles pas l’aimer?
Johanne s’étouffa. Elle était extrêmement en colère.
“M. Chevalier, tu sembles trop confiant, dit Johanne. Je te suggere d’acheter un miroir et de bien te regarder!”
Il n’est pas nécessaire de vérifier, dit Bruce Aucun homme n’est aussi beau que moi à Greyport! Donc, si je m’intéresse a toi, tu devrais te sentir extrêmement honoree!”
Johanne resta sans voix. Elle se sentit mal à l’aise après avoir écouté ce qui avait été dit.
Cetait la première fois qu’elle réalisait que Bruce était si effronte. C’était tout simplement un narcissique!
Au départ, la première impression qu’elle a eue de lui est qu’il était stable et sage, et qu’il dégageait une attitude froide et noble digne d’un rejeton.
Son attitude l’avait immédiatement captivée, alors qu’elle n’était encore qu’une jeune fille.
Maintenant, il semblait que c’était vraiment une illusion. Dans tout Greyport, il n’y avait pas d’homme plus effronté que lui
Bruce ajusta légèrement sa cravate et se dirigea vers elle avec un sourire malicieux.
“Ne t’approche pas“, dit Johanne. “Si tu veux dire quelque chose, assieds–toi là et dis–le!”
En voyant Bruce s’approcher d’elle, Johanne se sentit inconscieniment nerveuse.
Lexperience effrayante d’hier l’avait laissée mal à l’aise et incapable de retrouver complètement son sang–froid.
“Pourquoi?” dit Bruce. “Est–ce que tu me détestes tellement maintenant?”
Les yeux de Johanne vacillerent un instant. Elle n’osa pas répondre “our“.
Elle le detestait vraiment maintenant!
Elle detestait son caractère autoritaire, son désir de contrôle et son caractère impitoyable.
“Bruce, je t’en supplie!” dit Johanne. Tu peux arréter d’être comme ça? Ton comportement me met beaucoup de
pression”
En entendant cela, une trace de culpabilité traversa les yeux de Bruce.
Jusqu’à present, il devait admettre qu’il l’aimait vraiment. Ou peut–être qu’il l’avait toujours aimée, mais qu il ne voulait pas Ladmettre
Dans le passe, il voulait obstinement rembourser une dette de gratitude. Il s’etait force a amer Roxane. Couple au malentendu avec Johanne, il l’avait torturée et humiliée de toutes les manieres possibles.
Actuellement, il avait abandonne son agitation intérieure et avait finalement réalise à quel point il l’aimait vraiment.
Bip. bip, bip!
Le telephone de Bruce vibra de nouveau trenetiquement.
Si quelqu un avait Faudace de l’appeler ainsi et qu’il ne répondait pas, če ne pouvait etre que Roxane au bout du bi
Johanne s’arreta et regarda Bruce avec une expression solennelle Bruce, tu m’as dejà fait mal,” dit Johanne. “Ne tais plus de
mal à Roxane.”
Bruce resta sans voix. Il était abasourdi.
Johanne dit: “Dans le passé, tu as insisté pour divorcer parce que tu voulais donner à Roxane le titre d’être ta femme.”
“Maintenant que tu es fiancé à Roxane, tu as toujours envie de t’engager dans une relation compliquée avec moi! Est–ce normal d’être si inconstant?”
Bruce fronça les sourcils en entendant cela. Il dit: “Johanne, c’était un malentendu dès le départ.”
“Jai fait une erreur. La femme que j’aurais dû aimer, c’est en fait foi”
Il y a dix ans, il pensait à tort que Roxane l’avait sauvé, alors il a développé des sentiments pour elle.
Mais maintenant, il savait que la personne qui l’avait vraiment sauvé était Johanne.
S’il avait su à l’époque que c’était Johanne qui l’avait sauve, il n’aurait jamais fini avec Roxane.
Johanne regarda Bruce avec une expression incrédule après avoir entendu cela.
Maintenant, peu importe ce qu’il disait, elle ne le croirait pas.
“Bruce, tu es vraiment dröle!” dit Johanne. “Comment peut–il y avoir raison ou tort lorsqu’il s’agit d’affaires de cerur?”
Bruce prit une profonde inspiration sous le choc.
Il savait que rembourser la dette de gratitude envers quelqu’un qui l’avait sauvé par un amour romantique pouvait sembler démodé, mais c’était exactement ce qu’il avait pensé à l’époque.
Il était le seul enfant de la famille Chevalier. S’il mourait, sa grand–mère serait tres triste. Par conséquent, son sauveur ne l’avait pas seulement sauvé lui, mais aussi sa grand–mère et la famille Chevalier.
En conséquence, il pensait qu’offrir son amour à son sauveur était la bonne chose à faire.
“Ce qui s’est passé entre moi et Roxane était un malentendu, dit Bruce. “Roxane est celle qui t’a enlevé tout ce qui t’était destinée à l’origine…
“Ce
que tu dis est tres étrange“, dit Johanne Je ne sais pas de quoi tu parles! Ce qui s’est passé entre toi et Roxane etait un malentendu. Ce qui s’est passé entre toi et moi était un malentendu.”
“Tu ne peux pas utiliser le malentendu comme excuse?” Johanne ne put s’empêcher de se moquer.
Elle ne savait pas que c’était en fait Roxane qui l’avait remplacée et avait prétendu être la sauveuse de Bruce.
Elle ne savait pas non plus que Bruce aurait autant de troubles émotionnels à cause de cet incident.
Johanne, il y a vraiment eu un malentendu entre nous,” dit Bruce. “S’il te plait, donne–moi un peu de que ce malentendu a ete dissipé. Je ferai en sorte que tu retombes amoureuse de moi.”
temps, maintenant
Sans attendre que Bruce finisse, Johanne l’interrompit: “Il n’y a pas de malentendu, dit–elle. “Et je ne veux pas savoir de quel malentendu il s’agit.”
Je veux juste vivre une vie paisible. S’il te plait, ne perturbe plus ma vie!”
Johanne…
“S’il te plait, arrête de parler, dit Johanne. “Ne t’approche pas de moi, d’accord?”