Chapitre 2588
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Bien que mal cultivés, les soldats savaient bien que la jambe gauche d’Hamid était irréversiblement déformée et que même les médecins au top n’étaient pas en mesure de la guérir.
Mais une pilule a guéri la jambe d’Hamid ? C’était vraiment incroyable!
Voyant que les figures étaient tout abasourdies, Hamid voulait même bondir de joie, mais pour garder son autorité, il a juste continué de se rendre vers la cave, sans se permettre la moindre marque d’exaltation…
Venu devant la porte de la cave, Hamid a dit:
–
Faisal, j’ai déjà renvoyé M. Clément et Mile Axelle. M. Clément m’a parlé de ta situation, rassure–toi, tant que tu ouvres la porte, tu pourras reprendre tout de suite tes fonctions dans l’armée, je te le promets!
Faisal a dit sans hésiter:
–
Je ne m’inquiète nullement de ma vie, je ne cherche qu’à m’assurer que M. Clément est parti en sécurité ! Si quelque malheur arrive à M. Clément, je me battrai jusqu’à la mort contre vous ! Étonné par ces mots de Faisal, Hamid ne pouvait s’empêcher de penser :
“Mon Dieu, Faisal est vraiment tout dévoué à Clément sous l’effet de la suggestion ?! Si j’apprends aussi à suggestionner, ce ne sera pas une chose difficile pour moi de prendre la tête de toute l’armée d’opposition… >»
À ce moment, Hamid a dit d’un air sérieux :
–
– Faisal, comment est–ce possible que je complote contre M. Clément ? Premièrement, je ne suis pas du tout de force avec lui et deuxièmement, comment puis–je faire du mal à mon bienfaiteur qui m’a guéri la jambe ?
En l’entendant, Faisal a demandé à la hâte :
Tu veux dire que M. Clément t’a guéri la jambe ?!
Oui! a répondu Hamid, si tu ne me crois pas, tu peux ouvrir aussitôt la porte pour vérifier ! Ne t’inquiète pas, je suis seul dans le couloir.
Quelques instants plus tard, Faisal a légèrement ouvert la porte et a passé la tête par l’entrebâillement.
Voyant qu’Hamid était effectivement seul dans le couloir, à mains nues, Faisal s’est un peu soulage et a repris:
– C’est vrai ce que tu dis?
Hamid a levé les mains et a fait quelques pas devant Faisal, tout en disant :
Regarde, ma jambe gauche est totalement guérie maintenant !
À cette vue, Faisal ne pouvait s’empêcher de s’exclamer:
–
Seul M. Clément dans ce monde en est capable !
Hamid a hoché la tête et lui a demandé :
– Tu me crois maintenant ?
Oui, je te crois, a dit Faisal.
Sur ce, il a directement poussé la porte et a poursuivi:
Commandant Hamid, j’espère que tu pourras tenir ta promesse.
Chartre 2588
Hamid a dit sérieusement:
—
Rassure–toi, je tiendrai sûrement ma promesse !
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Cela dit, il est entré dans la cave et a dit:
–
Faisal, je sais que tu es fidèle à M. Clément, mais avant qu’il revienne ou te donne des ordres, j’espère que tu peux bien faire tes propres devoirs.
Faisal a hoché la tête et a dit :
D’accord, Commandant Hamid!
Hamid a montré du doigt la porte de fer de la pièce d’en face et a ordonné:
– Bon, ouvre cette porte.
En l’entendant, Faisal a immédiatement ouvert la porte de fer.
Quand Hamid est entré dans la pièce, les sept jeunes, si effrayés, ne cessaient d’implorer la miséricorde.
Hamid regardait ces sept jeunes et a dit en ricanant:
– Félicitations, vous n’allez pas mourir, j’ai promis à M. Clément de ne pas vous tuer !
Entendant cela, les sept jeunes ont pleuré de joie.
À ce moment, l’homme d’origine indienne a demandé en pleurant :
–
Commandant Hamid, quand nous laisserez–vous partir?
Hamid a agité la main et a dit :
– Partir? Tu rêves hein ! À partir de demain, vous travaillerez tous les sept comme esclaves ici jusqu’à
votre mort, et même après la mort, vous serez enterrés ici !
Chapitre 2589
