Chapitre 2218
Denise, si tu quittes le Groupe Roi pour rejoindre ma société en tant que vice-présidente et mon amante, ton père pourra avoir un nouveau rein demain.
– Tu n’as pas honte !
Denise a serré les dents et a dit avec colère:
-Walter, tu me forces, tu es marié depuis longtemps, tu fais ça, tu n’as pas peur que
ta femme et tes enfants te quittent ?
Walter a fait la moue et a répondu :
–
Je me suis marié uniquement pour accomplir la tâche que la famille m’a confiée, et dès que je l’avait fait, elle cesserait de s’immiscer dans ma vie privée.
Et il a poursuivi d’un ton calme :
– Quant aux enfants, ils sont encore jeunes, et quand ils seront plus grands, ils comprendront aussi l’importance de l’argent et me comprendront naturellement. Walter regardait Denise et a ajouté précipitamment :
De plus, si tu deviens mon amante, tu devras aussi avoir des enfants avec moi, après tout, je n’aime pas mettre les préservatifs, d’ailleurs, je veux toujours un enfant métis, c’est juste dommage que ma famille exige que mes progénitures soient aussi de sang pur, c’est tellement embêtant…
A ce moment-là, Walter s’est esclaffé, l’air suffisant:
– Mais si c’est mon enfant illégitime, ils ne devraient pas s’en préoccuper.
Denise se mettait en colère à ces mots :
–
Walter, honte à toi!
Walter a ri,
Nous sommes tous adultes maintenant, et la honte inutile a été mise de côté depuis longtemps par moi.
– Si tu viens travailler pour mon entreprise, l’expérience que tu as acquise au Groupe Roi et les informations confidentielles que tu détiens aideront mon entreprise à mieux se développer au Pays C. Je te paierai le double de ton salaire actuel et je te donnerai un demi-million d’euros de plus par an en bonus!
– Cela t’amènera plus d’un million par an !
– Si tu m’aides à battre le Groupe Roi et à l’absorber, je te donnerai cent millions de plus !
–
Et nous aurons des bureaux l’un à côté de l’autre, nous pouvons donc ouvrir une porte secrète dans le mur qui sépare les deux bureaux et mettre une armoire pour couvrir la porte, de sorte que même pendant les heures de travail, je peux aller dans ton bureau et rester avec toi pour faire ensemble n’importe quoi, ce sera tellement parfait, n’es-tu pas contente?
En reculant, Denise a ouvert la porte et a dit :
-Walter, je ne veux plus te voir, sors d’ici !!!
Walter a ricané:
Bien sûr que je peux partir, mais ton père, semble-t-il, ne tiendra pas longtemps, et je te conseille de réfléchir à mes paroles.
Denise s’est fâche:
– Je ne vais pas les prendre au sérieux ! Sors d’ici ou j’appelle la police tout de suite!
Walter a écarté les mains et a fait la moue:
D’accord, d’accord, ne t’énerve pas autant, même si l’état de ton père est grave, tu devrais quand même avoir un mois pour y réfléchir, je suis toujours à la Cité J, tu peux me contacter à tout moment si tu acceptes mes demandes !
Ce disant, il a redressé le col de son costume, a fait un clin d’oeil à Denise et a souri:
Je m’en vais donc, ma chérie. Je te laisse alors
