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Chapitre 2456
En effet, a dit Rinako, M. Igor a également dit qu’en ce qui concernait la proportion, il y avait encore une marge de négociation. Moi je pense que même si nous proposons 30% des bénéfices, les Chappuis ne le refuseront pas.
lyo est restée silencieuse un moment avant de répondre :
Rinako, ne lui donnons aucune réponse à ce sujet pour le moment. Je pense toujours que les Chappuis ne sont jamais embarrassés de considérations morales, et qu’il nous est préférable de ne pas coopérer avec eux à moins que ce soit absolument
nécessaire.
–
Bien ! Je vais l’ignorer pour le moment, a répondu Rinako, sans plus la persuader.
Après avoir raccroché le téléphone, lyo a entendu demander son père :
–
Comment ? Les Chappuis nous proposent une coopération?
–
– Oui, papa, lyo a pris un air sérieux au sujet du travail, le permis de navigation des Chappuis a été révoqué, alors ils veulent coopérer avec nous pour ouvrir une compagnie commune au Japon et se sortir de la crise.
Ensuite, elle a donné une description générale des conditions offertes par les Chappuis.
A l’écouter, Yasu s’est exclamée avec surprise:
– Si nous pouvons vraiment obtenir des Chappuis 30% des bénéfices, ce sera certainement un revenu supplémentaire énorme pour nous !
Kinnosuke a secoué la tête et a dit avec indifférence :
-Les Chappuis sont tous par nature extrêmement égoïstes. D’après leur logique, il est légitime qu’ils gagnent de l’argent d’autres, mais ils ne permettent à personne d’autre de gagner leur argent. Maintenant, s’ils sont prêts à nous donner un tel montant de profit, ce doit être parce qu’ils ont rencontré un problème très grave. Une fois que nous les aurons aidés à surmonter les difficultés, ils tourneront leur attention. vers la part de profit qu’ils nous ont cédée, et à l’avenir, ils essaieront certainement par tous les moyens possibles de récupérer cet argent avec des intérêts.
–
C’est vrai, lyo a fait signe d’approbation de tête, je partage la même opinion que toi, papa. Nous devons rester à l’écart d’une famille comme les Chappuis !
Une demi–heure plus tard, un jet privé Gulfstream G650 a décollé de l’Aéroport international de Narita. Les Nakayama ont pris ensemble le vol pour la Cité J.
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En même temps, Alceste se tenait sur la terrasse de sa villa au bord du lac, surplombant le lac calme av
ne expression très froide.
Il s’est tourné vers Igor à côté de lui et lui a demandé :
– Donc, les Nakayama n’ont pas encore répondu ?
–
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Non, a répondu Igor honnêtement, j’ai contacté l’assistante d’lyo qui m’a dit qu’elle lui rapporterait notre proposition. Je pense qu’lyo a encore du temps pour considérer nos conditions.
Alceste a secoué la tête :
– Personne n’hésiterait devant ces conditions. Si elle est vraiment intéressée, elle nous contactera immédiatement pour discuter des détails de la coopération ultérieure ; sinon, c’est naturel qu’elle agisse comme ça, nous ignorer sans répondre.
Ou peut–être veut–elle simplement nous ignorer exprès et puis nous demander plus ?
–
C’est peu probable, a analysé Alceste sérieusement, même si c’est le cas, elle fera semblant d’hésiter. Mais elle ne nous donne aucune réponse, cela signifie
probablement qu’elle n’est pas intéressée du tout.
Soudain, le majordome Ansuan s’est approché et a dit à voix basse :
–
Maître, le vol de M. Édouard arrivera à la Cité S dans une heure.
Ah bon ? Alceste a été ravi à ce sujet, demande alors à la cuisine de préparer tout de suite un banquet pour M. Édouard selon le menu préparé. Aussi, va inviter Mathieu
Pelletier chez nous !
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